Complément d’information au communiqué du 30 novembre de l’école nationale supérieure d’architecture de Versailles

Dans un communiqué en date du lundi 30 novembre 2015, l’école nationale supérieure d’architecture de Versailles a fait part à toutes les
ENSA du départ de M.Michel de son poste de directeur de l’école de Versailles et de son intégration dans le corps des inspecteurs du patrimoine du ministère de la culture et de la communication, tout en exposant son parcours professionnel.

M.Michel ayant occupé les fonctions de directeur de l’ENSA de Grenoble entre 1999 et 2009, il est nécessaire d’apporter quelques précisions sur certains aspects de son passage au sein de l’ENSAG…

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La sous-traitance à la Cité de l’architecture & du patrimoine nous n’en voulons plus !

La sous-traitance est organisée par les politiques, les dirigeants-clients et des boîtes sous-traitantes.
Cette organisation entre dirigeants a pour objectif de casser les conditions de travail, et les conditions salariales de nos collègues ! Alors que ces grands groupes privés, côtés en bourse, engrangent de grosses marges.

Chaque année le ministère de l’économie baisse les budgets de la Culture et impose la sous-traitance. La cascade est évidente : baisse des budgets des musées, contrats des prestataires au rabais mis en concurrence et donc baisse des conditions des salaires
(contrats temps partiel).

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Pourquoi faut-il refuser le wifi à la BnF

Alors qu’elle a fait installer l’accès filaire à internet en 2008 dans les salles de lecture, la BnF a décidé de mettre des bornes wifi pour satisfaire les usagers/ères muni-e-s de tablettes sur le site de Tolbiac. Pourtant, nombre de lecteurs et lectrices utilisent principalement des ordinateurs. De même, l’argument d’une demande spécifique des usagers/ères disposant de matériel d’une marque particulière est inopérant, car cette marque propose un adaptateur USB permettant une connexion filaire. De plus, la technologie wifi tend aujourd’hui à l’obsolescence, car elle ne permet ni le « très haut » débit, ni la véritable sécurisation de données.

Pourquoi aller dans le sens du consumérisme, alors que la BnF constitue une enclave de sécurité pour les personnes électrosensibles du fait de cette absence de wifi ? Ce type de technologie est présent partout et constitue une prise de risque pour la santé…

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Les négociations s’ouvrent enfin sur le plan de titularisation des enseignants contractuels

Dans le cadre des négociations en cours sur le nouveau statut des enseignant-e-s-chercheurs des Ensa, nos organisations syndicales ont obtenu l’ouverture d’une négociation pour un plan de titularisation des enseignant-e-s contractuel-le-s employé-e-s durablement sur les besoins permanents de l’enseignement dans les écoles d’architecture.

La directrice de l’architecture en a fait l’annonce au cours du dernier comité technique commun des Ensa du 18 novembre, ce qui a été confirmé par écrit dès le lendemain par le cabinet de la ministre Fleur Pellerin.

Les conditions d’éligibilité à la titularisation, l’échéancier du plan, le volume des emplois concernés comme les modalités de recrutement font dès à présent l’objet d’un cycle de discussion qui devra s’achever fin février 2016.

Il va sans dire que l’ambition et l’ampleur de ce plan de titularisation dépendront pour beaucoup de la mobilisation de chacun.

Nous vous tiendrons régulièrement informés de l’évolution de cette négociation.

Nous avons aussi rappelé fermement au cabinet et à l’administration qu’il est exclu que les intéressé-e-s voient leurs charges horaires diminuées ou leur lien contractuel fragilisé, comme l’avait déjà acté l’instruction de la ministre Aurélie Filippetti du 23 Juillet 2013 sur la contractualisation des enseignants.

Paris, mardi 24 novembre 2015

Précarité à la BnF : La direction doit prendre ses responsabilités !

La BnF emploie depuis des années des agent-e-s non titulaires à temps incomplet sur des besoins permanents pour assurer le bon fonctionnement de son service public, par exemple le soir et le weekend. Ces agent-e-s qui accueillent les publics aux Vestiaires, en banques de salles, en pieds de tours, qui travaillent dans les magasins, à la numérisation ou au transfert des collections sont embauché-e-s en CDD. Ces contrats vont de quelques mois à 3 ans à l’issue desquels ils et elles accèdent au CDI – acquis hérité d’une lutte précédente – sans pour autant voir augmenter leur quotité horaire. Ces embauches se font en moyenne sur une base de 80h par mois, ce qui correspond à des salaires très bas : moins de 700 euros mensuels.

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