Rassemblement de soutien aux étudiants syndicalistes poursuivis par l’Université pour activité syndicale.

L’extrême droite frappe, les militants syndicaux SUD-FSE trinquent….

Rassemblement de soutien aux étudiants syndicalistes poursuivis par l’Université pour activité syndicale.

LUNDI 18 JUIN 2012 10H PLACE DU PANTHÉON, PENDANT LA COMMISSION D’INSTRUCTION.

3 étudiants syndicalistes de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne risquent l’exclusion. Pourquoi ? Pour leur activité syndicale !

Les 3 et 4 avril, se sont déroulées les élections pour les conseils centraux au sien de l’université Paris 1. Le centre PMF fut la cible le 3 avril au matin d’une descente musclée de militants du MET (mouvement des étudiants, façade électorale de l’UNI), la plupart extérieurs à l’université, et renforcés selon une source journalistique par la présence de plusieurs membres du GUD.

Cette démonstration de force, propice à une montée des tensions dans l’enceinte de l’université a provoqué en fin de matinée une altercation avec des militants syndicaux de Paris 1.

L’université a engagé suite à ces évènements des poursuites disciplinaires parfaitement arbitraires à l’encontre de trois militants du syndicat SUD-FSE, aucun membre de l’UNI n’ayant été inquiété.

Nous ne pouvons accepter que ces camarades syndicalistes risquant aujourd’hui l’exclusion soient victimes d’une réaction partiale de l’université face à une provocation manifeste de l’extrême droite. La répression syndicale engagée par l’administration n’est pas un acte isolé. En effet, suite aux violences exercées par les vigiles privés de l’université sur des militants lors de la tenue d’une réunion le 12 avril à l’initiative d’étudiants du NPA (une militante ayant été gravement blessée), l’un de leurs membres est actuellement menacé par des poursuites similaires.

Nous condamnons avec fermeté la partialité manifeste de l’Université, qui couvre des militants d’extrême droite extérieurs et attaque des militants syndicaux élus dans ses propres conseils.

Nous refusons que des militants puissent être ainsi poursuivis dans le cadre de leur activité syndicale et demandons par conséquent l’arrêt des poursuites engagées à leur encontre.

Il s’agira d’un rassemblement silencieux, afin de symboliser le mutisme auquel l’Université astreint toute contestation, mais également pour de ne pas risquer de mettre en péril nos camarade dans leurs procédures. Grandes pancartes avec slogans et scotch sur la bouche sont les bienvenus !

Communiqué SUD Étudiant Paris 1 – Luttons contre les répressions syndicales A Paris, le 12 Juin 2012.

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Foire à l’Autogestion

Le samedi 23 juin et le dimanche 24 juin, ont lieu à la Parole Errante, à Montreuil (93, près de Paris), la Foire à l’Autogestion, à l’appel de nombreuses organisations, dont SUD Culture.

Le programme des débats, ateliers, projections, etc.. organisés pendant ces deux jours et tous les détails à ce sujet sont sur le site de la Foire à l’Autogestion : http://www.foire-autogestion.org/.

Une table de presse commune aux différents syndicats de Solidaires (dont SUD Culture Solidaires*) qui participent à cette Foire à l’Autogestion sera tenue pendant les deux jours.

*Certains débats (celui sur autogestion, syndicalisme et luttes sociales en particulier) sont tout à fait dans les champs d’activité et de réflexion de SUD Culture.

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Grève des salariés du Nettoyage à la Cité des Sciences

Grève des salariés du Nettoyage à la Cité des Sciences pour lutter
contre la remise en cause incessante de leurs droits et conditions de
travail (sept entreprises différentes en 2 ans) et pour obtenir de la
Cité des Sciences l’élaboration d’une charte de la sous-traitance promise
depuis plusieurs années visant à mettre un terme aux conflits à
répétition dans le nettoyage.

Les grévistes souhaitent un soutien massif des organisations SUD et
proposent un grand rassemblement à la Cité des Sciences le jeudi 14 juin
de 11H à 14H où nos amis de la compagnie JOLIE MÔME nous offrirons leur
spectacle « paroles de mutins ».

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Les rendez-vous du documentaire engagé

Les rendez-vous du documentaire engagé
Politis et l’association Voir&Agir présentent

Mercredi 13 juin à 20 h

Centre Culturel/Cinéma de La Clef
21 rue de la Clef 75005 PARIS
M° Censier-Daubenton

FERNAND PELLOUTIER et les Bourses du Travail
Un film de Patrice SPADONI
2002, 59 mn

Individu singulier, syndicaliste, poète et libertaire, Fernand Pelloutier fut l’un des principaux artisans d’une expérience hors du commun, celle des Bourses du Travail. Celles-ci furent à la fois des espaces de contre-pouvoir « préfigurant une autre société », des bureaux de placement, des foyers d’action culturelle et de formation professionnelle, et des lieux de solidarité concrète entre les salariés et les chômeurs.
Le film plonge le spectateur dans un XIXe siècle finissant, où le monde du travail invente de nouvelles utopies qui n’ont pas fini d’inspirer les débats d’aujourd’hui…

La projection sera suivie d’un débat animé par Antoine GIRARD avec Patrice SPADONI, réalisateur du film, et Boris MELLOW, militant syndicaliste et ancien chercheur sur l’histoire du syndicalisme français.

http://www.voiretagir.org/FERNAND-PELLOUTIER-et-les-Bourses,148.html

Libre participation aux frais.

Ce film sur l’un des créateurs du syndicalisme en france à la fin du XIXéme est réalisé par un camarade de SUD PTT et un camarade de SUD Culture participera au débat.

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Le respect du droit du travail dans le nettoyage est un combat permanent

Il y a quelques semaines, la société TEP, qui détient le marché du nettoyage du site de Tolbiac, a recruté
des salariés extérieurs. Certains de ces nouveaux agents sont engagés à temps plein et d’autres à temps
partiel, pour intervenir sur ce site.
Si ces recrutements répondent d’une certaine façon à la situation de sous-effectif que les salarié-e-s du
nettoyage de la BnF déploraient, ils ne peuvent satisfaire pleinement les salarié-e-s les plus ancien-ne-s
présent-e-s sur le site de Tolbiac, qui demandent depuis bien longtemps leur passage à plein temps, ce
qu’ils et elles n’ont jamais obtenu de la part de leur employeur TEP.

Alors qu’une partie des personnels effectue des plages de travail de seulement 3 à 4 heures par
jour et souhaite accéder à des temps complets, la société TEP s’autorise de nouveau à mépriser
les droits de ses salarié-e-s

Lisez la suite de ce tract ci-dessous.

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