Samedi 07 mai, avis au public de la BnF : Grève des vacataires contre la précarité et pour l’emploi à la BNF !

Ouverte notamment le soir et le weekend, la BnF accueille tous les publics venus travailler en salle de lecture ou bien visiter une exposition. Cette ouverture est en grande partie assurée par les agent-e-s non titulaires de l’établissement, les « vacataires », employé-e-s à temps incomplet.

Des personnels qui vivent sous le seuil de pauvreté à la BnF.

Ces agent-e-s qui vous accueillent de l’entrée de la BnF jusqu’aux salles de lecture peuvent cumuler une importante ancienneté, parfois plus de 10 ans, ont terminé leurs études depuis longtemps et ont parfois des enfants à charge. Ils et elles sont contraint-e-s par des contrats précaires, leurs ouvrant des droits restreints. Embauché-e-s en CDD et effectuant autour de 80h par mois, leur salaire dépasse rarement les 700 euros, ce qui les amène parfois à cumuler plusieurs emplois. Malgré l’absence de perspectives aux concours ou de titularisation, travailler en tant que « vacataire » à la BnF est bien souvent un emploi principal, et non un « job d’étudiant-e » comme la direction peut parfois le laisser entendre…

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Contre la loi travail et la précarité / La précarité n’est pas une solution aux problèmes de la BnF

Parmi les personnels accueillant les publics de la BnF, environ 250 agent-e-s « vacataires » (agent-es non titulaires de la Fonction Publique) travaillent à temps incomplet, notamment le soir et le week-end.
Sur l’ensemble de ces agent-e-s, environ 150 travaillent sur des tâches d’accueil, surveillance et magasinage, services indispensables pour permettre l’ouverture et le bon fonctionnement de la BnF…

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Vacataires de la BnF : Contre la loi travail et la précarité à la BnF : Tous et toutes en grève le samedi 09 avril !

Loi travail : public/privé ensemble pour le retrait !

La mobilisation continue pour sauver le code du travail et revendiquer de nouvelles protections et garanties sociales. La contre-réforme du code est particulièrement offensive contre les droits des salarié-e-s et porte
en elle un projet de précarisation de l’emploi ni amendable, ni négociable : faciliter les licenciements collectifs et individuels, inverser la hiérarchie des normes dans les négociations collectives, remise en
cause des 35h par accord d’entreprise… Aujourd’hui attaque du secteur privé, demain attaque du public :
imposons tous/tes ensemble, dans la rue, le retrait de la loi travail !

Stop à la précarité à la BnF !

Parce que la précarité n’est pas une solution aux problèmes de la BnF, que les « vacataires » n’ont pas à continuer de subir les politiques d’austérité des gouvernements successifs, la BnF doit maintenant rendre des comptes aux vacataires.

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CONTRE LA LOI TRAVAIL, POUR L’EMPLOI À LA BNF : POURSUIVONS LA MOBILSATION !

Après les mobilisations des 9, 17 et 24 mars, la journée de grève et de manifestation du 31 mars a été un succès, aussi bien à la BnF qu’au niveau interprofessionnel, ce qui montre bien la colère des salarié-e-s. Mais pour obtenir satisfaction sur nos revendications, pour arrêter la casse des services publics et des droits sociaux, il faut poursuivre l’action !

Le projet de loi travail est toujours aussi inacceptable. De son côté, la BnF continue à subir les politiques d’austérité mises en œuvre ces dernières années, ne nous donnant plus aujourd’hui les moyens d’accomplir pleinement nos missions de service public.

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