Préavis de grève pour les personnels de la BnF

« Le SBnF-CGT, avec la FSU BnF et Sud Culture BnF, déposent un préavis de grève à compter du 31 mars 2016 et couvrant l’ensemble du mois d’avril, jusqu’au 30 avril 2016 inclus pour l’ensemble du personnel de l’établissement afin de leur permettre de participer aux différentes
actions.

Depuis 2009, le Ministère de la culture est touché par des suppressions de postes et des réductions budgétaires sans précédent fragilisant dangereusement l’accomplissement de ses missions et parfois
leur pérennité même. La BnF ne fait pas exception. L’établissement est même dans le peloton de tête du Ministère avec la perte de plus de 250 postes et 10 millions de subventions de l’Etat rendant toujours plus difficiles l’exercice des missions et le travail des agents. »

Lisez en pièce jointe l’intégralité de ce courrier adressé au président de la BnF.

Précarité à la BnF : les « vacataires » témoignent de leur expérience.

On peut parler de précarité à la BnF sans nécessairement connaître le vécu des premiers/ères concerné-e-s et de ce qu’implique au quotidien le fait de gagner un salaire très bas, de ne pas avoir les mêmes droits que les autres agent-e-s, de travailler le soir et tous les weekend et de subir un statut qui ne permet que de maigres perspectives d’évolution professionnelle au sein d’un établissement où l’on travaille pourtant souvent depuis longtemps.

La section SUD Culture de la BnF se bat depuis des années pour protéger les droits des « vacataires » et aussi en gagner de nouveaux, pour dénoncer les contrats occasionnels abusifs, pour réclamer l’embauche directe en CDI et le passage à 110h des « vacataires » sur besoins permanents qui le souhaitent ou encore pour obtenir la simple égalité de traitement avec les titulaires pour des « vacataires » souvent méprisés dès lors qu’il s’agit de parler de leurs conditions de travail.

Lisez la suite en pièce jointe.

Sud-Inrap Mars 2016

Lisez ci-dessous le bulletin de mars 2016 de la section Inrap.

Au sommaire :

  • Badinter, liquidateur du code du travail.
  • L’accès aux corps de fonctionnaires de l’État sérieusement à l’étude pour les CDI de l’INRAP.
  • Encore une fois, des critiques malveillantes ? Laissez-nous travailler en paix, s’il vous plaît !
  • Dans quelles proportions avons-nous fouillé en France ces dernières années ?

Sud-Inrap février 2016

2016 02_SUD-Inrap, Février 2016Lisez ici le bulletin de février 2016 de la section Inrap.

Au sommaire :

Diagnostic sur l’archéologie préventive, à l’aune des réformes en cours.

A la suite du livre blanc et du rapport Martine Faure, les débats parlementaires de la fin d’année 2015 laissent entrevoir les contours du paysage de l’archéologie préventive de demain. Sans vouloir dresser un tableau exhaustif et réel de la situation future, quelques commentaires, rédigés dans le but de faire valoir
nos revendications, s’imposent d’ores et déjà, au sujet des situations, à la fois présentes et à venir.

L’Accès aux corps de fonctionnaires de l’État enfin sérieusement à l’étude pour les CDI de l’Inrap

2016 02 12 RDV SUD-Culture – P. BarbatLe 15 décembre dernier, les ministres de la Culture et de la Recherche ont confié à Philippe Barbat, directeur de l’Institut National du Patrimoine, la mission d’étudier les possibles « évolutions à apporter au statut des agents » de l’Inrap. Dans ce cadre, les organisations syndicales représentatives au sein de
l’établissement ont légitimement voix au chapitre. A sa demande, Sud-Culture Solidaires a été reçu par le chargé de mission le 8 février.

Lisez la suite ci-contre.

L’avenir de la BnF ne se fera pas sans ses personnels !

L’intersyndicale de la BnF a interpellé en novembre 2015 la direction de la BnF sur les nombreuses difficultés que connaît notre établissement, à travers une déclaration commune lue au Comité Technique du 10 novembre, puis au Conseil d’administration faisant suite à l’assemblée générale des personnels du 19 novembre.

Courant décembre, une réunion a eu lieu entre la Direction et les organisations syndicales. L’administration a présenté les grandes lignes d’un plan d’action dont la teneur est loin de répondre à l’ensemble des problèmes pointés et dont les contours restent très flous. Car au-delà des mots, il faut maintenant des actes positifs forts. L’intersyndicale de la BnF reste donc mobilisée et réclame de la direction un réel sursaut dépassant la rigueur budgétaire imposée sans cesse depuis 7 ans et engageant une vraie prise de responsabilités.

A l’approche du Comité Technique de la BnF qui aura lieu le 05 février, les agent-e-s et l’intersyndicale de la BnF dénonçant depuis de nombreuses années de graves dysfonctionnements continuent donc de revendiquer…

Lisez la suite de ce tract en cliquant sur la pièce ci-dessous.