Le gouvernement ne cède pas, NOUS NON PLUS !

2010 11 22 Le gouvernement ne cède pas Nous non plusLe gouvernement et les médias à sa solde voudraient nous faire croire que tout est désormais joué. Ils ont tort.
Notre détermination reste intacte et nous ne lâcherons rien.

La nouvelle loi sur les retraites, même promulguée, reste illégitime. Nous continuons à la contester car son
contenu et la façon dont elle a été décidée sont inacceptables, parce que l’immense majorité de la population la rejette.

Lisez la suite de ce communiqué ci-dessus.

19 NOVEMBRE à CAEN CONFERENCE RÉGIONALE D’ETAT SUR LE SPECTACLE VIVANT ? REFUSONS cette MASCARADE !

On nous le serine de toutes les manières : la conjoncture est mauvaise, crise économique, mondialisation, crise du capitalisme financier, dette, chômage …Et pour couronner le tout menaces en tout genre sur les acquis sociaux. : retraite, sécurité sociale, assurance chômage… Dans ce contexte, la politique culturelle devrait faire l’objet d’une concertation de tous les instants … Il faut plus que jamais préserver l’avenir et s’assurer avec une politique culturelle
dynamique, de perspectives porteuses d’espoir.

Il faut permettre aux forces vives de notre pays, et à sa jeunesse notamment, de s’organiser et
construire une société plus juste, d’inventer une nouvelle manière de vivre ensemble…

Lisez ci-dessous la suite de ce communiqué sur cette conférence régionale d’état sur le spectacle vivant ainsi que la déclaration commune revendiquant une véritable concertation entre les élus et les acteurs de la culture.

Le syndicalisme d’action directe face aux transformations du capitalisme et de l’État dans le secteur de la culture

Les travailleurs de la culture en lutte.

Le syndicalisme d’action directe face aux transformations du capitalisme et de l’État dans le secteur de la culture

Cet ouvrage s’adresse à tous ceux, militants, salariés du secteur de la culture et citoyens curieux, qui souhaitent mieux appréhender les transformations dans le secteur de la culture, les luttes syndicales et les mutations actuelles de l’État et du Capitalisme.

À partir d’une étude empirique, basée sur des entretiens et des observations participantes, cet ouvrage propose un panorama des évolutions et des problèmes qui se posent actuellement dans le secteur de la culture en France : éditions, médias d’information, exploitation cinématographique, conservation du patrimoine, spectacle vivant. Il présente des luttes et des actions menées par des syndicalistes en particulier par rapport au problème de la précarité ou contre la Révision générale des politiques publiques (RGPP).

L’ouvrage propose en outre une réflexion sur la place du syndicalisme face au capitalisme et à l’État. Il avance des pistes de réflexion pour comprendre l’État, le capitalisme et leurs relations aujourd’hui.

8 euros. A commander

  • soit aux éditions d’ores et déjà.
  • soit par courrier: chèque à envoyer au 55 rue de Lancry – 75010 Paris
    (à l’ordre des Éditions d’Ores et Déjà)

Iréne Pereira est docteure en sociologie, chercheuse associée au GSPM / EHESS et chargée de cours à l’Université. Par ailleurs salariée au Ministère de la Culture, elle milite au syndicat SUD Culture Solidaires. Elle est en outre co-fondatrice de l’Institut de Recherche, d’Étude et de formation sur le syndicalisme et les Mouvements sociaux (IRESMO) et auteure de plusieurs ouvrages d’études politiques dont: Anarchistes (La Ville Brûle, 2009), Peut-on être radical et pragmatique ? (Textuel, 2010), Les
grammaires de la contestation
(La découverte, 2010).

Politique salariale du ministère et « reliquat », le choc et l’affront.

Comme si l’annonce du ministre du budget François Baroin de geler les salaires des agents publics
pour les 3 ans à venir ne suffisait pas encore, le ministre de la Culture, malgré l’opposition unanime
des organisations syndicales, vient de décider de poursuivre et d’élargir la Prime de Fonctions et de
Résultats (PFR).

La PFR, fondée sur le « mérite » personnel évalué par le supérieur hiérarchique direct et sur une
« cotation » du poste occupé, est un véritable traquenard qui introduit l’individualisation des
rémunérations et accentue les inégalités…

Lisez la suite ce communiqué ci-dessous.