On peut parler de précarité à la BnF sans nécessairement connaître le vécu des premiers/ères concerné-e-s et de ce qu’implique au quotidien le fait de gagner un salaire très bas, de ne pas avoir les mêmes droits que les autres agent-e-s, de travailler le soir et tous les weekend et de subir un statut qui ne permet que de maigres perspectives d’évolution professionnelle au sein d’un établissement où l’on travaille pourtant souvent depuis longtemps.
La section SUD Culture de la BnF se bat depuis des années pour protéger les droits des « vacataires » et aussi en gagner de nouveaux, pour dénoncer les contrats occasionnels abusifs, pour réclamer l’embauche directe en CDI et le passage à 110h des « vacataires » sur besoins permanents qui le souhaitent ou encore pour obtenir la simple égalité de traitement avec les titulaires pour des « vacataires » souvent méprisés dès lors qu’il s’agit de parler de leurs conditions de travail.
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