Après les DRAC Auvergne, Basse Normandie, Champagne Ardennes, Franche
Comté et Languedoc-Roussillon, c’est au tour des DRAC de l’Ile de
France et et de Rhône Alpes de dénoncer la situation dramatique que
connaissent l’ensemble des services.
La tonalité est toujours la même : pertes de missions, impact de
Chorus, stress accru, manque de dialogue social,….
Le refus du directeur de la DRAC Rhône Alpes est particulièrement
emblématique du mépris affiché envers les personnels. Au cas où il
ignorerait le décret du 28 mai 1982 relatif aux comités techniques
paritaires, nous lui rappelons l’article 21 qui l’oblige à réunir un
CTP dans un délai maximum de deux mois dès lors que la moitié au moins
des représentants titulaires du personnel l’aura demandé.
Dans l’optique du prochain Comité Technique Paritaire Ministériel qui
aura lieu le 11 juillet, il est indispensable que le maximum de DRAC se
mobilise d’ici là.
Première étape avant des mobilisations en septembre.