Communiqué de soutien à la lutte des moniteurs et monitrices étudiant-es de la bibliothèque Sainte-Barbe (Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle). Samedi 9 janvier ils et elles seront de nouveau en grève et tiendront piquet de grève de 9h30 à 14h place du Panthéon.
Communiqué de Solidaires FP concernant la suspension du jour de carence dans la fonction publique pour les arrêts liés au Covid, suite au CCFP de ce 7 janvier 2021.
Un CCFP consacré à la suspension du jour de carence dans la fonction publique pour les personnels contaminés par le Covid 19 s’est tenu le 7 janvier.
Si cette suspension est pour Solidaires un premier pas non négligeable pour les agent-es, il n’en reste pas moins que cette mesure est non rétroactive.
Cela signifie une inégalité de traitement et une injustice pour les agent-es contaminé-es entre les deux périodes de suspension c’est-à-dire entre le 11 juillet et le mois de janvier. Faut-il préciser que cela correspond par ailleurs à une période pendant laquelle un très grand nombre de contaminations ont eu lieu.
Cette mesure s’inscrit également dans un laps de temps particulièrement court puisque le texte ne prévoit la suspension que jusqu’au 31 mars, alors même que personne n’imagine que l’épidémie sera terminée à cette date.
Enfin, cette mesure temporaire, non rétroactive et limitée à une seule maladie ne correspond pas à la revendication de Solidaires qui est bien celle d’une abrogation totale du jour de carence pour l’ensemble des travailleur-ses du secteur public et privé et pour l’ensemble des maladies.
Cette mesure injuste, contre productive au plan sanitaire et financièrement pénalisante doit disparaître au plus vite.
La Coordination des Intermittent·e·s & Précaires de Midi-Pyrénées (CIP-MP), Aux Arts Etc…,Mix Art Myrys et Sud Culture Solidaires appellent à une Assemblée Générale « Culture & Droits Sociaux en Danger » ce jeudi 7 janvier à 14h, 12 rue Ferdinand Lassalle à Toulouse
Les usagers du département « Art vivants » de la médiathèque de Vaise se mobilisent aujourd’hui concernant sa restructuration en cours. Amateurs, professionnels du spectacle vivant, étudiants, éditeurs, intervenants, ou usagers « lambdas »se regroupent donc concernant le devenir de ce département.
En quelques mots, ce département fait partie d’un des rares lieux en France, ouvert à tous, en capacité de rassembler et d’actualiser un fonds sur le théâtre, la danse, le cirque, l’opéra, les marionnettes, le mime, et comprenant également 33 abonnements à des revues spécialisées. Le département organise des accueils de résidences de petites compagnies, des conférences avec des acteurs de la scène locale. Nous pouvons aussi mentionner le travail en collaboration avec les Journées de Lyon des Auteurs de Théâtre, avec des mises en espaces de nouveaux textes, ainsi que l’organisation du salon du livre de théâtre. Le travail en ligne est aussi important. D’abord sur l’Influx, avec la rédaction d’articles, de brèves, de conseils de lecture, de revues de presse et de bibliographies. Les bibliothécaires de ce département participent aussi au Guichet du savoir. Ce service permet à chaque usager d’avoir une réponse en 72 heures à toute question sur le spectacle vivant.
Tou.te.s dans la rue samedi 9 janvier, 14h Gare du Nord, à Paris.
Le 9 janvier 2021 marquera les 8 ans de l’assassinat de Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Soylemez en plein de cœur de Paris par un agent aux liens avérés avec les services secrets turcs.
8 ans de déni de justice pour les familles, 8 ans d’impunité pour les commanditaires de l’assassin, qui décédait quelques jours avant son procès. La France ne se contente pas de fermer les yeux sur ce crime : à plusieurs reprises, Emmanuel Macron a rencontré le Président turc Recep Tayyip Erdogan. Lors de ces rencontres, Macron, tout comme son prédécesseur François Hollande, s’est bien gardé d’évoquer le sujet fâcheux du triple assassinat : il faut dire que les intérêts politiques et économiques de la France sont bien supérieurs à la justice. Et tant pis si, en plus, le régime d’Erdogan accentue la répression contre les forces progressistes en Turquie, notamment contre le HDP, multiplie les attaques contre le Rojava, envoie des mercenaires en Libye et en Azerbaïdjan, bombarde des civils dans les montagnes entre Turquie et Iran.
Claire, militante du comité national des travailleurs privés d’emploi et précaires de la CGT, a été arrêtée pendant la manifestation du 5 décembre. Son arrestation s’est faite sans aucune raison valable et relève d’une violence d’État qui utilise la brutalité policière afin de criminaliser le droit de manifester.
Le gouvernement actuel, dans son processus de destruction et de démantèlement du système social, cherche à intimider celles et ceux qui voudraient s’y opposer. Tout est bon : arrestations arbitraires, humiliations, procédures judiciaires. Claire, coupable d’être venue manifester samedi 5 décembre contre le chômage et la précarité, a subi des violences policières, a ensuite passé deux jours en garde à vue, pour être finalement présentée au tribunal de grande instance (TGI).
Ce que les pouvoirs publics lui reprochent ? « Rébellion » et « refus de se disperser » ! Devant cette mascarade de justice, Claire a refusé la comparution immédiate. Elle est convoquée au tribunal de grande instance mardi 5 janvier pour y être jugée.
NON À LA CRIMINALISATION DES MANIFESTANT·ES AUCUNE SANCTION POUR CLAIRE RASSEMBLEMENT MARDI 5 JANVIER 12 HEURES TGI PORTE DE CLICHY
Nous continuons d’exiger : L’abrogation de la réforme de l’assurance chômage. L’abrogation du décret du 29 décembre 2018 sur le contrôle des chômeur∙es. Une nouvelle convention indemnisant 100 % des chômeur∙es et précaires. Une année blanche pour les intermittentes et intermittents de l’emploi, et pour les travailleuses et travailleurs précaires, à compter de la fin de la crise sanitaire. L’arrêt des contrôles et le redéploiement des effectifs vers l’indemnisation et l’accompagnement. L’abrogation de la loi Sécurité globale et l’abandon du nouveau schéma du maintien de l’ordre.
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