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Des Etats généraux pour une information et des médias pluralistes

Un document de 8 pages vient d’être réalisé dans le cadre de la campagne « Des Etats
généraux pour une information et des médias pluralistes » dont SUD Culture Solidaires est
partie prenante.


Des États généraux pour une information et des médias pluralistes :

Brève histoire…

Sous la présidence Nicolas Sarkozy, la « droite décomplexée » impulse une offensive
générale dans le secteur des médias pour imposer, à marche forcée, leur soumission
conjointe au libéralisme économique et à l’autoritarisme politique.

Les États généraux pour le pluralisme – à ne pas confondre avec les « Etats généraux de
la presse » pilotés par le gouvernement…- n’en sont que plus indispensables.

Le 29 mai 2005, à la question « Approuvez-vous le projet de loi qui autorise la
ratification du traité établissant une Constitution pour l’Europe ? », 54,68% des
électeurs ont répondu « non ». Or rarement le pluralisme démocratique aura été aussi
ouvertement et cyniquement bafoué par les grands médias, publics ou privés qu’il ne le
fut à l’occasion de la campagne précédant le scrutin. Le 3 octobre 2005, était rendu
public un Appel à des États généraux pour une information et des médias pluralistes, p. 1
et 2

Il sera suivi en 2006 d’une rencontre régionale à Grenoble et d’une rencontre nationale
des médias associatifs et independants du tiers secteur, à Marseille en mai 2006, qui
adopte un appel qui, notamment, synthétise leurs principales revendications, p. 5

Enfin, une première session des États généraux se tient le 30 septembre 2006, à
Saint-Denis, qui se conlut par une déclaration finale : « Pour des médias soustraits à
l’emprise des pouvoirs économique et politique », p. 4 et 5

Les préparatifs de la campagne électorale pour l’élection présidentielle de 2008 sont
l’occasion d’interpeller les formations politiques. Dans ce but, le samedi 10 février
2007, les États généraux pour le pluralisme, organisés au Palais du Luxembourg, procèdent
à une audition, ouverte à la presse, des formations politiques et de leurs candidats (ou
de leurs représentants).

L’élection de Nicolas Sarkozy, la politique qu’il mène avec sa majorité, à commencer par
la suppression – sans réelle contrepartie – de la publicité sur les chaînes publiques,
et, plus généralement les évolutions dans le secteur des médias justifient la tenue d’une
deuxième session des Etats généraux, précédée d’un appel, p. 6

Elle se tient le 17 mai à Paris 2008 et se conclut par une nouvelle déclaration finale :
« L’information et le service public, c’est notre affaire », p. 7 et 8

le jeudi 30 octobre 2008

Vous trouverez ce Huit pages sur le site Internet de Solidaires au lien suivant :
http://www.solidaires.org/article21642.html

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Nouvelles attaques contre l’archéologie préventive !

Depuis des années, quelques députés ou sénateurs nous ont habitué à se saisir d’un projet de loi pour mener des attaques en règle contre l’archéologie préventive. C’est la technique du « cavalier » législatif. Cette fois, c’est le projet de loi sur le logement qui sert de prétexte à un nouveau coup bas contre le patrimoine archéologique. A la manoeuvre se trouve Daniel Dubois, sénateur centriste de la Somme (cf pièce jointe).

Sous un prétexte fallacieux ne reposant sur aucun fondement (l’organisation d’une opération préventive sur un site urbain de la période médiévale à Saint-Riquier, ville célébre pour son abbaye carolingienne), il a fait adopter, avec l’aide de l’UMP et de Christine Boutin, l’amendement suivant :

« Si dans les six mois qui suivent l’arrêté d’autorisation de fouilles sur des terrains destinés à la construction de logements sociaux, aucune opération de fouilles n’a été engagée, l’autorité administrative prononce le retrait de l’autorisation. »

Si cet amendement, dont la rédaction n’a aucun sens, devait être définitivement adopté, il s’agit d’un véritable détricotage de la loi… votée il y a quelques années par ces mêmes sénateurs.

C’est bien évidemment, à terme, la mort des fouilles archéologiques préventives puisque les lobbys demanderont probablement l’extension de cet amendement à l’ensemble des projets d’aménagement. En effet, tant les délais de mise en oeuvre de ces opérations que le manque d’effectifs à la hauteur des besoins, sont les causes de délais bien souvent supérieurs à six mois. Il suffirait d’ailleurs qu’un aménageur omette de lancer un appel d’offres pour que les délais soient de fait dépassés !

Pour SUD Culture Solidaires, la solution ne passe pas par ce genre d’artifices mais par une mise à niveau des moyens disponibles pour mettre en oeuvre une véritable politique archéologique qui soit à la hauteur des enjeux scientifiques et patrimoniaux de cette discipline.

Nous demandons à Christine Albanel de tout mettre en oeuvre pour que cet amendement soit retiré dans le cadre de la commission paritaire députés/sénateurs.

Sud Culture Solidaires, le 21 octobre 2008

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