Exigeons un vrai débat public sur le démantèlement des installations nucléaires.

Signez et faites signer la pétition !
Exigeons un vrai débat public sur le démantèlement des installations nucléaires.

A nos côtés, demandez l’ouverture d’un débat public contradictoire, équitable envers toutes les parties prenantes, honnête et non truqué, sur le démantèlement des installations nucléaires et le devenir de leurs déchets radioactifs.

Signez la pétition : http://www.sortirdunucleaire.org/dossiers/petition-debat-demantelement.html

Faites suivre largement ce lien à tous vos contacts (proches, ami-e-s, collègues, …) pour les inciter à signer eux aussi la pétition !

Soutenez nos actions, faites un don en ligne : http://www.sortirdunucleaire.org/dossiers/don-en-ligne.html

Il existe 121 installations nucléaires en France, imposées aux Français sans aucune consultation démocratique. 14 d’entre elles sont arrêtées. Se pose aujourd’hui la question de leur démantèlement et du devenir de leurs déchets radioactifs.

Les autorités tentent d’occulter cette question en morcelant les dossiers enquête par enquête. Le 6 juin 2007, le Réseau « Sortir du nucléaire » a obtenu gain de cause devant le Conseil d’Etat, qui a annulé le décret autorisant le démantèlement de la centrale de Brennilis (Finistère), aucun débat public n’ayant eu lieu. A plusieurs reprises, le Réseau « Sortir du nucléaire » a demandé aux ministres concernés l’ouverture d’un débat public sur la question globale du démantèlement des installations nucléaires et du devenir de leurs déchets, conformément aux directives européennes en vigueur.

Pourquoi engager précipitamment les opérations de démantèlement, alors que les travailleurs seront beaucoup plus exposés à la radioactivité et qu’il n’existe à ce jour aucune installation pour le stockage des déchets les plus radioactifs ? Demandons un vrai débat public sur le démantèlement des installations nucléaires !

Réseau « Sortir du nucléaire »

image_pdfTélécharger en PDFimage_printImprimer

Ecoles d’architecture : Les mal aimées du minitère.

Ecoles d’architecture : Les mal aimées du ministère.Depuis que les écoles d’architecture ont été rattachées au ministère de la
Culture, aucun acquis d’envergure n’a été réalisé. La réforme LMD a
accouché d’une souris pour les étudiant-es : des diplômes « canada dry » tenant lieu de licence et de master… mais qui n’en sont pas véritablement :ils sont sans aucune valeur d’échange s’ils doivent être monnayés dans d’autres filières de l’enseignement supérieur ou à l’étranger. Pour les enseignant-es, le mépris dont a fait preuve le ministère est incommensurable : leurs grilles d’avancement n’ont pas été modifiées depuis l’époque où les écoles d’architecture relevaient du ministère de l’équipement. Pour les personnels, les statuts précaires se sont multipliés malgré la promesse du
président de la République de résorber ce problème honteux.

Téléchargez le document et lisez la suite ci-dessus.

image_pdfTélécharger en PDFimage_printImprimer

CHEZ Mc DONALD COMME AU LOUVRE, NON A LA PRECARITE !

Aujourd’hui, samedi 27 février 2010, a eu lieu une action de sensibilisation au problème de la précarité et de l’avenir des services publics à 13h qui a bloqué le fonctionnement du Mc Donald récemment installé à l’intérieur du Louvre. Les participants à l’action ont ensuite fait le tour des autres magasins du Carrousel du Louvre et ont également distribués des tracts au public. Cette action, initiée par diverses associations, syndicats et soutenus par des partis politiques: L’appel et la pioche, CGT Eliance Musées, Sud Culture Solidaires, Le Louvre pour Tous, Union syndicale Solidaires Paris, NPA et Front de Gauche, a réunie une centaine de personnes.

Il s’agissait de faire le lien entre les méthodes de travail du privé et le devenir du service public. L’implantation de l’entreprise Mc Donald au Louvre est symbolique à un double titre. Mc Donald est une entreprise qui fonctionne sur la précarité et des méthodes managériales qui n’ont d’autres finalités que la productivité et le profit au détriment des conditions de travail des employés et de la santé des consommateurs. Cette entreprise est en outre connue pour sa répression à l’encontre des syndicats les plus revendicatifs.
L’implantation de Mc Donald au Louvre, comme celle d’autres entreprises privées, souligne aussi la place de plus en plus grande accordée aux intérêts privés au sein des espaces publics. C’est dans cette logique de privatisation du service public que s’inscrit la marchandisation de la Culture.
Mais au delà de cela, ce que les participants de l’action ont voulu mettre en avant c’est l’entrée au sein du service public avec la loi de mobilité des fonctionnaires et la Révision Générale des Politiques Publiques des logiques du management privé : évaluation, rentabilité, objectifs, performance, précarité (dont intérimaires)….

L’emploi précaire d’un côté et les méthodes de management libérales de l’autre sont les vecteurs d’une insécurité matérielle et psychologique qui sont destructrices pour les salariés aussi bien du privé que du public.

Sud Culture Solidaires
12 rue de Louvois, 75002 Paris, tél. : 01.40.15.82.68

Lisez ici le tract diffusé lors de cette action.

image_pdfTélécharger en PDFimage_printImprimer

CHEZ Mc DONALD COMME AU LOUVRE, NON A LA PRECARITE !

Aujourd’hui, samedi 27 février 2010, a eu lieu une action de sensibilisation au problème de la précarité et de l’avenir des services publics à 13h qui a bloqué le fonctionnement du Mc Donald récemment installé à l’intérieur du Louvre. Les participants à l’action ont ensuite fait le tour des autres magasins du Carrousel du Louvre et ont également distribués des tracts au public. Cette action, initiée par diverses associations, syndicats et soutenus par des partis politiques: L’appel et la pioche, CGT Eliance Musées, Sud Culture Solidaires, Le Louvre pour Tous, Union syndicale Solidaires Paris, NPA et Front de Gauche, a réunie une centaine de personnes.

Téléchargez ci-dessous le tract diffusé lors de l’action du 27 février 2010 au Carrousel du Louvre.

Lisez ici le communiqué de presse Sud Culture solidaires

Visionnez ici quelques vidéos de l’action du 27 février au Mc Do du Louvre, mis en ligne par Louvre Pour Tous.

image_pdfTélécharger en PDFimage_printImprimer

POUR EXIGER LA SUPPRESSION DU MINISTERE DE LA HONTE DE BESSON.

SAMEDI 27 FEVRIER : MANIFESTATIONS A PARIS ET EN DROME-ARDECHE POUR EXIGER LA SUPPRESSION DU MINISTERE DE LA HONTE DE BESSON.

Samedi 27 février, des milliers de personnes manifesteront à Paris (dans  le cadre de la semaine anti coloniale) et à Donzère dans la Drôme pour  exiger la suppression du Ministère Besson.

Celui-ci, qui incarne sans vergogne ce ministère de la honte, est aussi  maire de Donzère dans la Drôme et c’est pourquoi ce samedi 27 février,  au « Sud » comme au « Nord », des milliers d’Ardéchois, Drômois et  Franciliens «prendront d’assaut», en une convergence citoyenne  exemplaire, les deux fiefs ministériel et municipal de l’ineffable.

Clé de voûte de l’architecture gouvernementale de Sarkozy, créé pour  stigmatiser autant le sans-papiers que l’immigré, pondre une nouvelle
loi contre les demandeurs d’asile, alimenter l’islamophobie par le biais  de cet indécent débat sur l’identité nationale, stigmatiser minarets et
burqa pour draguer les voix du fn… ce ministère, à forts relents  vychistes, doit disparaître du paysage de notre « démocratie », déjà
passablement anémiée.

Cet acharnement à vouloir encore et toujours plus réprimer, stigmatiser,  discriminer, a été de tout temps et reste la marque de gouvernements en  perte de légitimité, visant notamment à reconquérir à tout prix, sans  vergogne, l’électorat le plus néfaste.

Cette politique du pire et de courte vue atteindra inévitablement ses  limites, l’opinion publique (selon un sondage du 19 février, 45% de
citoyens sont favorables à la suppression du ministère de la honte)  comprenant progressivement qu’agiter l’habituel chiffon rouge du bouc
émissaire n’a qu’un objectif : détourner les regards de ces millions de  Français victimes de la faillite sociale du gouvernement en matière de  chômage, retraites, éducation, santé, logement…

Nous nous emploierons à ce que ces mobilisations du 27 février  s’étendent dans la durée à tout l’hexagone pour obtenir « véritablement
» la disparition salutaire de ce ministère et la mise au rencart de son  roitelet.

image_pdfTélécharger en PDFimage_printImprimer