S’il est un secteur particulièrement touché par la précarité, c’est celui des médias, convoités par les
appétits financiers et la prise de contrôle politique :
- Le service public de l’audiovisuel est restructuré, confronté à une réduction de ses moyens et mis sous la coupe de la Sarkozie.
- La mission d’intérêt général de l’AFP est de nouveau menacée par des projets de révision du Statut et une gestion mercantile.
- Les médias privés traditionnels, confrontés à la baisse des budgets publicitaires et à la perte de lecteurs, continuent de faire l’objet d’un monopoly visant à maintenir les marges d’exploitation à coups de restructurations, de fusions-concentrations et de réductions de la
masse salariale, souvent au prix d’une baisse de la qualité de l’information.
- Les nouveaux médias électroniques, toujours à la recherche d’un modèle économique viable, se construisent trop souvent sur le non-respect du code du travail et des conventions collectives.
- Les médias alternatifs sont étranglés…
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