Manifestation samedi 11 juin : on n’attend pas ! Des droits pour tout.es !

La campagne Antiracisme et Solidarité appelle à organiser partout des manifestations le 11 juin contre le racisme et contre l’extrême droite, pour l’égalité des droits de toutes et tous, pour la justice sociale et climatique.

À Paris, la manifestation partira à 15h de la Place Blanche.

Partagez, faites vivre la solidarité ! Que toutes celles et ceux qui se retrouvent dans ce mot d’ordre et qui ont l’envie d’agir participent se retrouvent dans la rue le 11 juin avec toutes les organisations antiracistes, antifascistes, féministes et écologistes à l’initiative de cet appel.

D’où que l’on vienne, où que l’on soit né.e, notre pays s’appelle Solidarité !

Pendant que l’avenant 182 détricote les salaires dans la branche Eclat-Animation, un rapport parlementaire tire la sonnette d’alarme

Communiqué des syndicats Solidaires dans la branche Eclat-Animation

Ildénoncela double exploitation patriarcale et capitaliste que subissent les femmes dans ces professions pourtant indispensables, notamment celles d’animatrices périscolaires.

François Ruffin, député de la 1ère circonscription de la Somme (La France Insoumise), et Bruno Bonnell, député de la 6e circonscription du Rhône (La République En Marche), ont conduit depuis fin 2019 une mission parlementaire d’information sur « les métiers du lien » dont le Rapport final a été présenté au Parlement en juin 2020[1].

Des métiers à très forte utilité sociale, complètement dévalorisés

Parmi ces « métiers du lien » figure celui des « animatrices périscolaires ». Ce métier, bien que jugée essentielle pour le développement éducatif des enfants demeure la·mission « parent pauvre » du maillage éducatif. Comme l’a fait le rapport parlementaire, nous choisissons de mettre ce métier au féminin car il est très essentiellement occupé par des femmes et la non reconnaissance économique et politique que ce métier subit est la conséquence de mécanismes patriarcaux qui servent les intérêts capitalistes : non considération des savoirs-faire professionnels dits « féminins » car considérés comme « naturels » et non pas comme des compétences justifiant une reconnaissance économique.


Communiqué complet