16 avril : « non » à l’extrême-droite, pour la justice et l’égalité

Manifestations partout !

Contre le racisme et contre le fascisme
Notre pays s’appelle Résistance !

Nous y (re)voilà ! Il y a cinq ans Macron se prétendait le barrage contre le fascisme. C’est le contraire qui s’est passé.

Après cinq ans de Macron au pouvoir l’extrême-droite n’a jamais été aussi haute électoralement.
Jamais ses insanités et obsessions n’ont été autant débattues et reprises.
Jamais les groupes violents fascistes n’ont été autant en confiance pour commettre des agressions racistes et attaquer les organisations du mouvement social.

Et pourtant… Jamais le candidat du pouvoir en place n’avait autant annoncé son intention de harceler migrant·e·s et sans-papiers, de s’attaquer aux étranger·e·s et mettre en pièce les acquis sociaux. Son ministre de l’intérieur trouve même « trop molle » la candidate d’extrême-droite !

D’où que l’on vienne, où que l’on soit né·e·s, d’Ukraine, de Syrie, du Soudan, du Mali ou de France, notre pays à nous s’appelle Solidarité.
Alors, dans chaque quartier, dans chaque village, dans chaque ville, entrons en résistance !

Dès ce samedi 16 avril, manifestons partout pour dire non au fascisme et non au racisme.

On est là ! Alors dès maintenant organisons-nous, ensemble, aux côtés des collectifs de sans-papiers et migrant·e·s, aux côtés des familles de victimes des violences policières et pénitentiaires, aux côtés des syndicalistes en lutte, aux côtés des collectifs et associations dans nos quartiers pour ne pas laisser un pouce de terrain à l’extrême-droite et à ses idées, pour riposter à chaque attaque et faire vivre l’égalité et la solidarité.

Les rdv : https://antiracisme-solidarite.org/

1er mai 2022 – Plus que jamais mobilisé-es pour nos revendications

Quel que soit le résultat de l’élection présidentielle, la mobilisation sera nécessaire.
La situation économique et sociale est en effet marquée par l’aggravation des inégalités, de la précarité et par la crise écologique qui s’accélère dangereusement. Les questions des salaires, des services publics, de protection sociale et de transition écologique devraient être au coeur des débats et amener des réponses concrètes.

Enfin, l’exigence de paix est aussi une revendication syndicale dans le contexte terrible des guerres notamment en Ukraine. C’est pourquoi les organisations syndicales CGT, UNSA, Solidaires, FSU, UNEF, VL, MNL et FIDL appellent d’ores et déjà à préparer un 1er mai revendicatif pour faire de cette journée un temps fort de la mobilisation pour les salaires, les pensions, la protection sociale, les emplois, les services publics, l’engagement de la rupture écologique, la paix.

Pour une rupture profonde en matière salariale et pour les pensions. Avec un taux d’inflation qui s’emballe, la situation faite aux agent-es du public comme aux salarié-es, aux retraité-es, aux privé-es d’emploi comme aux étudiant-es n’est plus tolérable tandis que les milliardaires en France ont accumulé 236 milliards supplémentaires lors de la pandémie. Dans le public comme dans le privé, le travail des salarié-es doit être reconnu à la hauteur de sa valeur, des richesses qu’il crée, et garantir l’égalité salariale entre les femmes et les hommes.

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[Pétition]Tous ensemble défendons le service public de la BnF !

Intersyndicale BnF : CGT, FSU, SUD

Depuis de nombreuses années, le Ministère de la Culture poursuit une politique d’austérité ayant pour effet une diminution constante des moyens humains et budgétaires consacrés au fonctionnement de la Bibliothèque nationale de France. Les personnels, lecteurs et usagers de la BnF continuent d’être soumis à des mesures régressives qui dégradent chaque jour davantage les services proposés au public et les conditions de travail des agents. Ainsi plus de 300 emplois ont-ils été détruits en dix ans.

Dans le but de supprimer à nouveau des postes, la direction de la BnF après avoir automatisé les vestiaires veut imposer, à partir du mois de mai, la fin des communications directes des documents jusqu’à 13h, tous les jours, la communication directe n’étant possible que l’après-midi. Cela serait un recul sans précédent pour les lecteurs et dégraderait les conditions de travail des agents de la BnF.

A cela se rajoute le projet de mettre en place des contrats ultra-précaires, des CDD d’un an non-renouvelable, à mi-temps avec un salaire de misère pour faire fonctionner les services aux lecteurs.

Avec les personnels de la BnF nous réclamons :

–   le retour à la communication directe des documents

–   des créations de postes et des moyens financiers pour la BnF

–   le non-recours à des contrats ultra-précaires

https://www.leslignesbougent.org/petitions/tous-ensemble-defendons-le-services-public-de-la-bnf-7384/