On la voyait partir, ô Gallot, mais elle est indéboulonnable !
Jour de dé-fête à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs quand on a appris, via le
J.O. du 7/12/11, la reconduction de Madame Gallot à la tête de l’École.
Les agents de l’Établissement, les étudiants, et leurs élus la voyaient partir loin, très loin, aussi
loin qu’elle était allée lors de son premier mandat marqué par l’autoritarisme et l’autocratie.
Ceux qui avaient eu les pires ennuis à cause d’elle goûtaient à l’avance comme une saveur de
douce revanche. Ceux qui craignaient le pire du pire avec ses façons de harcèlement chronique
et de mépris des personnels dont elle souhaitait le plus clairement du monde se débarrasser sans
autre forme de procès, poussaient le plus compréhensible des soupirs de soulagement. C’en
serait bientôt fini, l’espéraient-ils tous, de ses méchantes manières, jusqu’au 6 décembre au soir.
Mépriser les règles juridiques qui eussent dû régir la vie d’une école et de ses agents, dans des
clous connus et praticables. S’asseoir sur les textes réglementaires pour arranger la vie du petit
tyran local ; mais seulement la sienne, c’est clair…
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